#ONecoute : la voix des élèves sur la santé mentale

Les élèves de l’Ontario ont beaucoup à dire sur la santé mentale #ONecoute

DDL 3.14

Narratrice 

Être en bonne santé mentale, voilà quelque chose que nous voulons tous pour nous-même, nos amis, nos proches et les gens en général dans nos écoles et dans la collectivité.

L’école est un très bon endroit pour sensibiliser les jeunes et leur donner des moyens de rester en bonne santé mentale.

Mais ce qui importe vraiment, c’est comment on s’y prend.

Les élèves en ont beaucoup à dire sur ce qu’ils souhaitent apprendre, et comment ils veulent acquérir ces connaissances, tout comme sur la façon dont ils veulent s’impliquer dans des initiatives d’amélioration de la santé mentale et du bien-être des élèves à l’école.

Santé mentale en milieu scolaire Ontario et Savoir pour agir ont lancé mot-clic #ONecoute, la voix des élèves sur la santé mentale.

Cette initiative encourage la participation des élèves.

Nous devons entendre leur point de vue, leurs priorités, et leurs recommandations pour l’amélioration de la santé mentale des élèves dans l’ensemble de la province.

Trois objectifs clés ont été explorés.

Un, déterminer les besoins des élèves en information sur la santé mentale et leurs préférences d’acquisition de ces connaissances.

Deux, recueillir les idées des élèves sur la sensibilisation à la santé mentale, la réduction de la stigmatisation, et l’amélioration du mieux-être en milieu scolaire.

Trois, en apprendre davantage sur les façons dont les élèves souhaitent s’impliquer dans des initiatives en santé mentale.

À l’aide de notre questionnaire en ligne et de nos forums régionaux, nous avons pu entendre le point de vue de plus de 1 000 élèves.

Voici ce qu’ils nous ont dit.

À l’écran

Apprendre plus durant les heures de cours

Des enseignants mieux informés

Un accès amélioré aux services

Prioriser la diversité et l’inclusion

Plus impliqués dans la promotion et réduction de la stigmatisation

Un, les élèves veulent en savoir plus sur la santé mentale durant les heures de cours régulières.

Deux, les élèves veulent que leurs enseignants en apprennent davantage sur la santé mentale afin qu’ils soient de bonnes personnes-ressources dans ce domaine.

Trois, les élèves veulent un accès amélioré et plus clair aux services et aux soutiens par l’intermédiaire de l’école.

Quatre, les élèves veulent que nous rendions compte de la diversité et que nous fassions de l’inclusion et l’appartenance des priorités.

Cinq, les élèves veulent être mieux informés et plus impliqués dans les initiatives de promotion de la santé mentale et de la réduction de la stigmatisation.

Les élèves veulent en savoir plus sur la santé mentale à l’école.

À l’écran

97% veulent en savoir plus

Les signes précurseurs

Comment composer avec leurs pensées et leurs émotions

Comment et où demander de l’aide

Comment aider leurs amis 

En premier lieu, ils veulent en savoir plus sur les signes précurseurs de problèmes de santé mentale, comment composer avec leurs pensées et leurs émotions, comment et où demander de l’aide, comment aider leurs amis.

Les élèves ne veulent pas seulement apprendre en classe, ils veulent le faire en ligne

À l’écran

En classe 78.5%

En ligne 38.95%

Petits groupes 32.3%

et lors de discussions en petits groupes et à l’extérieur des classes.

Concernant le travail de Santé mentale en milieu scolaire Ontario à l’échelle de la province, les élèves insistent sur trois priorités :

À l’écran

personnel mieux informé, 58.6%

un accès amélioré aux services 43.2%

engagement réel des jeunes 39.9%

du personnel scolaire mieux informé, un accès amélioré aux services et aux soutiens, plus de possibilités d’engagement réel des jeunes.

Ils souhaitent que nous fassions davantage pour favoriser la diversité et l’inclusion,

À l’écran

Diversité

Inclusion

Santé mentale

Discrimination

et améliorer notre compréhension des liens entre la santé mentale et la discrimination.

À l’écran

veulent s’impliquer 83.7%

Ne sont pas impliqués 82.2%

Les élèves veulent manifestement s’impliquer dans la promotion de la santé mentale à l’école,

mais la plupart d’entre eux ne le sont pas.

Nous devons donc faire plus pour leur donner la chance

À l’écran

leaders en santé mentale

d’être des leaders en santé mentale à l’école et hors de l’école.

Ces commentaires et ces recommandations alimenteront notre travail pour faire avancer ce dossier.

Aussi, nous voulons que vous, les jeunes, les leaders en santé mentale, et tous nos partenaires ontariens vous joigniez vos efforts aux nôtres pour soutenir la prise de parole des jeunes, promouvoir la santé mentale en milieu scolaire, et nous aider à passer à l’action.

Nous avons encore beaucoup à faire.

Mettons-nous au travail!

Être en bonne santé mentale, voilà quelque chose que nous voulons tous pour nous-même, nos amis, nos proches et les gens en général dans nos écoles et dans la collectivité.

L’école est un très bon endroit pour sensibiliser les jeunes et leur donner des moyens de rester en bonne santé mentale.

Mais ce qui importe vraiment, c’est comment on s’y prend.

Les élèves en ont beaucoup à dire sur ce qu’ils souhaitent apprendre, et comment ils veulent acquérir ces connaissances, tout comme sur la façon dont ils veulent s’impliquer dans des initiatives d’amélioration de la santé mentale et du bien-être des élèves à l’école.

Santé mentale en milieu scolaire Ontario et Savoir pour agir ont lancé mot-clic #ONecoute, la voix des élèves sur la santé mentale.

Cette initiative encourage la participation des élèves.

Nous devons entendre leur point de vue, leurs priorités, et leurs recommandations pour l’amélioration de la santé mentale des élèves dans l’ensemble de la province.

Trois objectifs clés ont été explorés :

Un, déterminer les besoins des élèves en information sur la santé mentale et leurs préférences d’acquisition de ces connaissances.

Deux, recueillir les idées des élèves sur la sensibilisation à la santé mentale, la réduction de la stigmatisation, et l’amélioration du mieux-être en milieu scolaire.

Trois, en apprendre davantage sur les façons dont les élèves souhaitent s’impliquer dans des initiatives en santé mentale.

À l’aide de notre questionnaire en ligne et de nos forums régionaux, nous avons pu entendre le point de vue de plus de 1 000 élèves.

Voici ce qu’ils nous ont dit :

Un, les élèves veulent en savoir plus sur la santé mentale durant les heures de cours régulières.

Deux, les élèves veulent que leurs enseignants en apprennent davantage sur la santé mentale afin qu’ils soient de bonnes personnes-ressources dans ce domaine.

Trois, les élèves veulent un accès amélioré et plus clair aux services et aux soutiens par l’intermédiaire de l’école.

Quatre, les élèves veulent que nous rendions compte de la diversité et que nous fassions de l’inclusion et l’appartenance des priorités.

Cinq, les élèves veulent être mieux informés et plus impliqués dans les initiatives de promotion de la santé mentale et de la réduction de la stigmatisation.

Les élèves veulent en savoir plus sur la santé mentale à l’école.

En premier lieu, ils veulent en savoir plus sur les signes précurseurs de problèmes de santé mentale, comment composer avec leurs pensées et leurs émotions, comment et où demander de l’aide, comment aider leurs amis.

Les élèves ne veulent pas seulement apprendre en classe, ils veulent le faire en ligne et lors de discussions en petits groupes et à l’extérieur des classes.

Concernant le travail de Santé mentale en milieu scolaire Ontario à l’échelle de la province, les élèves insistent sur trois priorités: du personnel scolaire mieux informé, un accès amélioré aux services et aux soutiens, plus de possibilités d’engagement réel des jeunes.

Ils souhaitent que nous fassions davantage pour favoriser la diversité et l’inclusion, et améliorer notre compréhension des liens entre la santé mentale et la discrimination.

Les élèves veulent manifestement s’impliquer dans la promotion de la santé mentale à l’école, mais la plupart d’entre eux ne le sont pas.

Nous devons donc faire plus pour leur donner la chance d’être des leaders en santé mentale à l’école et hors de l’école.

Ces commentaires et ces recommandations alimenteront notre travail pour faire avancer ce dossier.

Aussi, nous voulons que vous, les jeunes, les leaders en santé mentale, et tous nos partenaires ontariens vous joigniez vos efforts aux nôtres pour soutenir la prise de parole des jeunes, promouvoir la santé mentale en milieu scolaire, et nous aider à passer à l’action.

Nous avons encore beaucoup à faire.

Mettons-nous au travail!